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Déchéance et rédemption
Le néoréalisme a ses fulgurances japonaises.
Fusako, Natsuko, Kumiko et les autres, Nippones ni soumises, tentent de vivre. Dans les rues d'Osaka, livrées à elles-mêmes, femmes puissantes survivent. Sous le joug masculin, noirceur et brutalité pour un mélodrame abrupt, violent et bancal, comme la vie.
Mizoguchi n'est pas misogyne mais génie en son monde dévasté.Femmes de la nuit, 1948
Tags : Femmes de la nuit, Mizoguchi
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