• Cordes sensibles, aux Editions Zonaires

    Cordes sensibles, aux Editions Zonaires
    Je me réjouis de vous présenter mon recueil de nouvelles Cordes sensibles, publié par les Editions Zonaires.

    Après les quatre collectifs de la maison Zonaires auxquels j'ai eu le plaisir de contribuer, je suis très heureux de poursuivre ma collaboration avec elle par le biais de cet ouvrage plus personnel, dont voici le motif :
     
    "Guitare, mandoline, balalaïka, kora... Mongolie, France, Indonésie, Mexique... Des cordes que l'on gratte, pince, effleure, frappe, et qui donnent la pulsation d'un monde d'âmes déboussolées où la musique devient échappatoire et planche de salut."

    Le livre composé de 17 nouvelles est à découvrir et à commander sur le site de l'éditeur. Vous pourrez, en prime, y écouter la lecture d'un extrait. 




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  • Commentaires

    1
    Jeudi 15 Octobre 2020 à 21:31

    A propos de Cordes sensibles :

    - Mai 2021, un article dans la revue littéraire Harfang, n°58 (voir ici)

    - le 01/11/20, un brillant et musical article de Sophie Dougnac dans L'Est Républicain, à lire sur le site de L'Est.

    - le 31/10/20, un entretien autour de Cordes sensibles, sur le blog de Françoise Guérin, Mot compte double, à découvrir ici :
    https://francoiseguerin.wordpress.com/2020/10/31/cordes-sensibles-de-benoit-camus-interview/
    Un grand merci à elle pour son éclairage !

     

    Des avis publics de lecteurs (que je remercie chaleureusement) :

    * Fabienne Botto, sur Facebook, le 13/05/22 :
    "Lu et apprécié ce recueil de nouvelles, dégusté à petites bouchées (c'est l'avantage des nouvelles, on déguste !). D'une ambiance musicale à l'autre, j'ai découvert des personnages finement esquissés au fil des notes, pardon, des mots !"

    * Mathieu Jaegert, sur Facebook, le 07/11/20 : 
    "Les cordes de Benoit Camus sont la vie, la mort, simple prétexte ou raison d'être. Des histoires portées par une écriture riche et fluide. Des lignes vibrantes. Des cordes sensibles."

    * Dominique Theurz, sur Facebook, le 06/11/20 :
    "Ou quand la musique ne parvient plus guère à adoucir les mœurs. Les nouvelles vibrent aux quatre coins du monde, les émotions pulsent, les chutes résonnent, l'écho claque."

    * Danielle Akakpo sur Facebook et Calipso, le 05/11/20 : 
    "Toute la gamme des instruments à cordes, balalaïka, Kora, mandoline accompagne le lecteur dans un périple des plus exotiques. 17 nouvelles où la musique et la poésie du style résonnent sur un fond de dépaysement. Un recueil d'une grande originalité qui a su faire vibrer en moi des cordes sensibles."

    * Jean-Paul Robert sur Facebook, le 19/10/20 :
    "Seize nouvelles dont le point commun est la présence, souvent apaisante, d'un instrument de musique. Entier ou pas, au début, à la fin ou tout au long du récit, peu importe, il apaise ou ravive des blessures, sert de prétexte à un meurtre et surtout de fil conducteur à cet excellent recueil.
    On retrouve dans ces seize nouvelles et dans le prologue, toute la verve et les qualités d'auteur de Benoit Camus. De l'exostisme, à l'humour, souvent grinçant comme dans Dia de los Muertes, et de l'inattendu à l'ambiance glauque d'un taudis, tout y est. Et tout y mène, inévitablement à un instrument de musique, quelques notes, un souvenir, un remords, une tentative désespérée de survie.
    Peu importe le contexte, chaque nouvelle a sa propre saveur et son monde particulier et dans chaque texte transparaît une certaine tendresse de l'auteur pour ses personnages.
    Un joli tour de force et un grand plaisir de lecture. Bravo l'artiste !"

    * Joël Hamm, sur le forum Maux d'auteurs et Babelio, le 17/10/20
    " Sensible, le contenu de ce recueil de nouvelles l'est, c'est certain. Et tendu aussi comme une corde qui retient des animaux sauvages. Sauvages comme bien des textes écrits par Benoît Camus avec ces brusques surgissements du fantastique dans la réalité noire du quotidien. La frontière entre les deux mondes est poreuse. Très.
    Ah, qu'il paraît doux cet auteur quand on le rencontre, et paisible, mais que les images qu'il déploie dans ses nouvelles sont troublantes, sanglantes parfois. Je me suis permis de lire publiquement la première nouvelle "Prélude" devant un groupe de lecteurs avertis. Le silence qui a suivi la lecture a duré assez longtemps pour qu'on le remarque. Les auditeurs avaient envie d'en connaître plus sur cet auteur inconnu d'eux. Des remarques entendues ce soir-là : "belle écriture, poétique et musicale / sens du rythme / un univers étrange et pourtant à peine décollé du réel / des images ravageuses etc. "
    Si vous voulez découvrir un talent d'avenir, lisez "Cordes sensibles" (en prenant votre temps car le style déployé est à savourer).

    * Nathalie Vignal sur Facebook et des groupes de lecture, le 15/10/20
    " De bien belles ballades qui nous entraînent à travers le monde. Le fil rouge de ce recueil ? Un instrument de musique à cordes, la guitare revenant à plusieurs reprises. L'auteur déploie un panel émotif du plus sombre, à la légèreté d'un humour à fleur de mots pour nous présenter ses héros d'un moment. Des portraits croqués dans le vif. Ils ont les traits des oubliés des cartes postales. Ils sont ceux de la vraie vie, ceux dont on ne parle pas, ceux qu'on ne regarde pas. Je connais bien l'écriture de Benoit Camus et j'ai pu apprécier qu'il se soit aventuré franchement ou par touches au domaine du fantastique. Il y excelle! Seize nouvelles pour voyager, s'émouvoir, frissonner, sourire et parfois frémir de tristesse.
    Une très belle réussite !"

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