• Un petit mot, aussi, de la revue littéraire Harfang, dans son numéro 47 (nov 2015), à propos de L'anthologiste.

    Où l'on parle aussi de L'Anthologiste, dans la revue Harfang 

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    L'occasion d'éclairer le travail de cet éditeur numérique porté sur la nouvelle qui, face aux difficultés que rencontrent les petites structures éditoriales, a interrompu ses activités depuis des mois, mais dont les ouvrages sont toujours disponibles dans la plupart des librairies numériques, ouvrages parmi lesquels figurent deux anthologies (collection Histoires à lire...) auxquelles j'ai participé : Histoires à lire dans une salle d'embarquement (incluant ma nouvelle Fleurs blanches) et Histoires à lire sur le trône (incluant ma nouvelle La colère d'Achille).

    Où l'on parle aussi de L'Anthologiste, dans la revue Harfang        Où l'on parle aussi de L'Anthologiste, dans la revue Harfang

     


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  • La revue littéraire et semestrielle Harfang consacre une page de son numéro 47 (novembre 2015) à la collection Le Bunker des éditions Jacques Flament.
    Un éclairage sympathique, par une revue de Haute Qualité Littéraire !

    Où l'on parle du Bunker, dans la revue Harfang

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  • Nos souvenirs flottent dans une mare poisseuse

     

    Après Chercher Proust qui narrait les tribulations drolatiques d'un jeune-homme en quête de Proust et de lui-même, Michaël Uras nous offre un deuxième roman tendre, mélancolique et subtil. Par touches délicates, tantôt comiques, tantôt graves, ou les deux à la fois, il dresse le portrait d'un homme entre deux mondes et deux âges, où il est question d'origines et d'héritage, du poids de la filiation et du moyen de s'en affranchir, sans la renier... Équation difficile s'il en est, que l'auteur se garde de résoudre.
    Les pièces s'assemblent en une suite de chroniques douces amères, évocations kaléidoscopiques d'événements aux apparences parfois anodines. Les éclairages se succèdent. L'auteur tisse sa toile, plonge le lecteur non dans une mare poisseuse mais dans un "sfumato" qu'il distille et dilate au fil des pages, de sorte que les contours des différents souvenirs se fondent les uns dans les autres, conférant à ce roman d'apprentissage, derrière sa légèreté de façade, une profondeur et une densité auxquelles le lecteur ne s'attendait pas. L'impression laissée est durable et n'est pas sans rappeler celle que l'on a pu éprouver à la vision de films tels qu'Armarcord de Fellini (sans les envolées oniriques ou surréalistes du maestro). Et l'on se dit, admiratif, que l'écrivain, décidément, a bien du talent. 

    Nos souvenirs flottent dans une mare poisseuse est sélectionné pour le Prix horizon 2016 du deuxième roman francophone..


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    "Le vent se lève ! ... il faut tenter de vivre !"

    Paul Valéry - Le cimetière marin


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    Depuis que les hommes s'étaient greffé des ailes, les nuages étaient à vendre.

    Pépin 2014 - Prix du Président

    Clouds en stock

     Illustré par ma fille


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  •  Vous reprendrez bien un peu de soupe ?

    Serial Soup

    Andy Warhol - Campbell's soup cans (MOMA)

    soupe à l'oignon soupe aux poireaux soupe au chou soupe à l'oseille soupe de potiron soupe de châtaignes soupe de potiron aux châtaignes soupe de cresson velouté de lentilles soupe refaite velouté de céleri rave velouté de céleri rave au roquefort et à la ciboulette soupe à la tomate soupe de concombre bouillon de poule soupe de brocolis potage de poireaux aux pois chiches soupe de potiron au lard potage aux châtaignes minestrone soupe aux zitoires crème de carotte au lait de coco soupe aux asperges soupe aux épinards gratinée d'oignon lyonnaise soupe de haricots coco velouté de céleri au cresson et lard potage de lentilles à la coriandre soupe aux radis soupe à la grimace velouté d'artichaut au foie gras soupe de brocolis à la patate douce et à la harissa potage de petits pois soupe au dessatan soupe de panais et de topinambours soupe vermicelle bouillabaisse potage alsacien à la bière soupe au lait potage aux haricots à la niçoise soupe à l'ail soupe à


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  • Eve et Adam - Fernando Botero

     


    La main sur l'épaule, la main dans le dos, tendresse. Les corps opulents, côte à côte, ensemble. Adam lève son autre main vers la pomme, leur liberté, leur humanité. Le début des ennuis.
    Il y a de la douceur dans cette représentation et de la mélancolie. Une innocence qui n'a rien à voir avec des origines idylliques et mythiques mais tout avec la complicité, l'amour au sein d'un couple.

    — Tu es prête ? On y va ?
    — Oui ! Et toi ? Tu n'as pas peur ? 
    — Non. Je suis avec toi.


    Adam et Eve - Fernando Botero


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